Kim Wilde 2011 - 2012

• Kim improvise dans le métro.

Kim Wilde lors d'un inteview en 2011

On la croyait définitivement partie comme toutes ces idoles oubliées des décennies passées. Mais non. Véritable icône des années 80, Kim Wilde fait un retour fracassant avec le très rock-électro-pop Come Out and Play. Plus épanouie que jamais, la belle Anglaise qui n'a rien perdu de son charme nous raconte sa grande histoire et sa passion renouvelée pour la musique et la scène.

Comment definissez vous votre musique aujourd’hui ?

• C’est un mariage brut entre le Rock et la pop avec quelques synthetiseurs

• Je voulais faire de la scène car c’est ce qui m’attire le plus depuis ces 10 dernières années. Je me sens heureuse sur scène et j’ai l’impression d’avoir grandi en tant qu’artiste de scène. Surtout que dans les années 80 j’ai passé beaucoup de temps avec les caméras braquées sur moi . Mais être sur scène face à un plublic c’est quelque chose d’incroyablement plus vrai.

Pouvez-vous nous parler de « Love Blonde », qui fut un grand succès en France en 1983. C’est une chanson dans un style différent de vos autres tubes, et qui me rappelle un peu le « Fever » de Peggy Lee.
C’est vrai qu’elle est très jazzy, un peu comme « Jessica ». C’est mon père et mon frère qui ont écrit cette chanson. Je crois que mon père l’a faite spécialement pour moi, mais quand je la chante, j’en fais un hommage à toutes les blondes, à toutes les icônes blondes, dont je fais un peu partie. C’est important et ce n’est pas grand chose à la fois. Ça sort juste d’une bouteille de shampoing décolorant, après tout (rires) !

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